Cette navigation n’a pas été des plus confortables : nous sommes parti de La Corogne dès qu’une fenêtre météo correcte pointait le bout de son nez, accompagnés de nos amis de pontons sur Yaouank, un équipage de Brest.
Au départ sous les grains à 30 noeuds en rafale au près, l’équipage a été réduit par le mal de mer. Quand la météo s’est calmée, nous avons pu reprendre un rythme de quart (nous n’avions toujours pas de pilote automatique) et nous sommes arrivés à Porto sous la pluie au petit matin. La ville était magnifique, mais le port peu abrité ce qui nous a coûté un taquet arrière !
Voulant mettre le cap sur les Canaries le plus vite possible, nous sommes allé chercher le pilote auto à Lisbonne en bus, pour repartir dès que la météo voulait bien.